[Tropico 3]: Happy end ?

Journal personnel du Président

De fin 1952 à début 1956

"Ah Tropico ! Ma chère patrie ! Comment te remercier de m'avoir mis à ta tête tous ceci ne serai qu'une partie de plaisir s'il n'y avait pas des habitants dont il faut s'occuper ! Mais bref, voici tout ce qu'il est arrivé d'important sur l'île ces dernières années :

Tout d'abord, les attentes des loyalistes(leur culte de ma personnalité me fais presque peur) se faisaient de plus en plus lourdes ! À tel point qu'une pétition pour l'ouverture d'un musée sur mon enfance m'a été présenté ! Ne voulant pas décevoir d'aussi grands admirateurs de ma personne, j'ai bien évidemment accepté de construire ce bâtiment, qui sorti de terre définitivement en février 1953.

Le musée de l'enfance du président

La construction de ce musée à déranger certaines personnes, mais personnellement, je ne vois pas où est le problème...

Un peu plus tard dans l'année, on me fit signifier que les tropiquiens souhaitaient avoir un lieu de culte sur l'île. Là encore, je ne vit pas le problème, et l'église sortit de terre en août 1953.


L'église de Tropico

Toujours en 1953, je fit publier des livres sur mon idéologie politique. Certains esprits trop sensibles y virent là encore à redire ! Ils ne savent pas ce qu'ils manquent...

Tout début 1954, un ouragan débarqua sur l'île, sans qu'aucun météorologue n'ait pu prédire la catastrophe en approche... je sens qu'il va y avoir du changement du côté du personnel de la station météo...


Bilan de l'ouragan: Des fermes et une mine détruite. Ce qui va impacter sur les exportations tropiquiennes durant une bonne année...

En novembre 1954, mon mandat a connu sa première manifestation ! Quelle bande d'ingrats...


En décembre 1954, la première école de Tropico est ouverte ! J'en avais assez de voir tous ces enfants traînés dans la rue toute la journée...


L'année 1955 fut très calme, avec seulement le retour des exportations des industries tropiquiennes, et l'instauration de la sécurité sociale pour satisfaire un peu plus le peuple ! Eh oui, les élections approchent, et je compte bien les gagner de façon tout à fait démocratique!

Sinon, fait étonnant, les américains ont l'air plutôt bien m'apprécier ! Moi qui pensais que mon commentaire sur les vulgaires touristes ricains allaient les vexés ! Par contre, les soviétiques ont l'air de m'ignorer totalement.

Bon, j'arrête pour aujourd'hui mon journal ! J'ai un discours à préparer pour l'allocution que je dois faire pour les prochaines élections !

Journal personnel du Président

De 1956 à 1962:

"Ahah, tout s'est passé pour le mieux durant ces dernières années ! Les élections ont été un jeu d'enfant !
En effet, il m'a fallu un petit discours d'un meeting passant sur la radio de Tropico pour m'assurer une belle avance du côté des intentions de vote ( discours où j'ai parlé des problèmes sanitaires que connait l'île. J'ai promis de remédier à cela si j'étais ré-élu, et j'en ai profité pour quelque peu me féliciter de la bonne tournure que prend l'île ! N'y voyez pas du narcissisme, la salle était en délire ! Enfin, au moins les loyalistes...) !
Un an plus tard, j'étais ré-élu avec le score écrasant de 84 votes contre 6 votes pour mon adversaire ! Et tous ça sans tricher...

J'étais donc reparti pour un nouveau mandat !

Sinon, voici un résumé de ce qui s'est passé depuis ma ré-élection en 1957 jusqu'aujourd'hui en 1962 (une période assez calme).
Au cours de l'année 1959, l'armée de Tropico connaît quelque changements, avec notamment un agrandissement de la taille de l'armée demander par les militaristes. J'accepte évidemment !

Le premier mirador de l'île

En 1960, la nourriture commence à manquer, et je fais donc appliquer un décret pour que celle-ci soit un répartie de façon plus abondante.
Quelques mois plus tard, la première banque de Tropico ouvre.


En 1961, le premier lycée de Tropico ouvre également ses portes !

A peine ouvert, et déjà taggé de partout, alala ces jeunes...

Voilà, c'est tout pour l'instant, ces dernière années ont été calmes, mais je sens que cela ne va durer...

LeSuisse a écrit:Viva el presidente

Quand t'ouvres une nouvelle banque c'est écrit qu'il y a une manif  

ContaShack a écrit:Le mandat s'arrête quand ?

gueguette a écrit:Vive la démocratie   
Même si j'ai un doute sur ton second mandat

louis49louis a écrit:Question : projetez vous d'aggrandir le territoire du pays ?

El Presidente a écrit:Ca risque d'être difficile avec une armée de 10 hommes, même motivés par ma personne extraordinaire...

Mai 1963:
Les élections reportées !

Depuis hier, la population tropiquienne a été informée du report des élections présidentielles ! La raison officielle avancée par les autorités est qu'une pénurie de papier fait rage sur l'île, ce qui empêche la création de bulletins de vote. Les opposants du gouvernement dénoncent une odieuse machination. En effet, on aurait aperçu des camions entier remplis de feuilles de papier être amené au Palais Présidentiel.

Novembre 1963:
La première cathédrale de Tropico est édifiée.

Octobre 1965:
Grève des dockers !

En ce 6 octobre, la première grève du règne du Presidente a éclatée ! Les grévistes réclament la tenue des élections annulée il y a deux ans. Mais ceux-ci ont vite dû abandonner leurs revendication, et reprendre le travail car, l'armée est intervenue rapidement. On est d'ailleurs sans nouvelle de trois d'entre-eux.

Fin 1965-mi 1966:
Difficultés économiques à Tropico !

L'île connaît sa première récession ! Sûrement une conséquence indirecte de la grève des dockers, l'état doit emprunter à la banque mondiale afin de ne pas couler. Bien qu'assez courte(8 mois) cette crise ralentie quelque peu la croissance de l'île.

fin 1966:
La première université de l'île est inaugurée !

Officiellement, cette université a été construite suite aux demandes des intellectuels de l'île. Mais certains opposants du gouvernement avancent qu'elle n'aurait ouverte uniquement pour que de nouveaux généraux soient formés afin d'agrandir les rangs de l'armée !

1967:
Privatisation et détournement de fonds (?) :

Le gouvernement du presidente vient d'entamer un virage assez impressionant vers la privatisation des moyens de la nation. Aucune raison particulière à ce revirement de situation n'a été présenté, mais certains prétendent que tout ceci n'est qu'une mascarade, afin qu'une partie des fonds gagnés par les entreprises soient détournés vers un compte en banque en Suisse.
Les communistes crient au scandale!

1964-1968:
La militarisation de l'île se confirme !

En effet, un mirador, une usine d'armes, une base militaire et une armurerie ont été construites respectivement sur l'île ! Les opposants ne voient pas tout ceci d'un bon oeil, et craignent un passage sous la loi martiale de l'île, mais le presidente assure que tous ceci n'est que pour la sécurité de l'île. Il déclare "Les rebelles me feront pas ch**r maintenant !"

Avril 1968:
Lumière s'il vous plait ! La première centrale est fondée !

ContaShack a écrit:Font chier les opposants

louis49louis a écrit:Manque de couilles ça, attaque la russie   

El Periodico de Tropico

Instabilité croissante de l'île !

Le mauvais oeil n'a pas épargné notre île cette dernières années. En effet, notre chère nation a connu deux révolte et une crise économique grave ! Pour ceux qui aurait été absents de l'île ces derniers temps (ou si vous venez de vous réveillez d'un long coma) voici un résumé des faits:

En septembre 1969, une opposante décide de prendre les armes contre le gouvernement et notre dirigeant sur le motif qu'ils sont corrompus, et que les prochaines élections seraient truquées par el Presidente. La rebelle décide donc de passer à l'attaque, et envoie une "déclaration de guerre" au Presidente ! Hilare, celui-ci prend, avec ses soldats, la route de la ferme où s'est réfugiée la rebelle la fleur au fusil.


La rebelle

Au point que lorsque ceux-ci arrivent sur place, par manque de concentration, se font accueillir par une rafale d'AK47 ! Un soldat se fait abattre et le presidente est blessé à l'épaule par une balle, et doit se replier.

Le Président en "replie stratégique"

Malgré cela, les soldats reprennent leurs esprits, et met hors d'état de nuire la rebelle.

En janvier 1970, le Président est ré-élu, même si des rumeurs de fraudes circulent.

En juillet de la même année, le Président réclame l'aide au développement des USA. Ceci devrait logiquement faire progresser la nation économiquement parlant. Mais étrangement, quelques mois plus tard, une grave crise économique débute. Elle plonge l'île durant près de 5 ans dans une récession qui freinera fortement l'économie. Pour éviter que le pays sombre, le Président prend des mesures drastiques, et met en route deux éditions de billets de 20000$.


Mais non content de cela, une grève des dockers a lieue. Le gouvernement envoie l'armée pour les obliger de reprendre le travail. En effet, le bon fonctionnement des docks est essentiel pour que l'économie remonte avec les exportations. 3 ouvriers sont portés disparus à la suite de cette intervention.

En 1974, l'économie est toujours au plus bas, et de nouveau une mauvaise nouvelle tombe; suite à la crise économique mondiale, les exportations chutent de 20% !


Fin 1974, pour couronner le tout, une nouvelle rébellion éclate ! Cette fois-ci trois rebelles en font partie ! Ceux-ci se retranchent dans la même ferme que lors de la dernière rébellion. Ce qui fera dire au Presidente qu'il faudra qu'il la détruise au lance-flamme. Mais bien heureusement les opposants sont écrasés. On rendra hommage au soldat loyaliste tué par les reblles.



Les soldats rentrent tranquillement après l'affrontement.

Tropico a donc connu de bien sombres années, autant économiquement parlant que du côté des rebellions. L'île retrouvera-t-elle sa stabilité dans le futur ?