[Tropico 3]: Happy end ?

ContaShack a écrit:Dommage qu'il n'y es pas les screens

Pierre80500 a écrit:Je propose d'enfermer cet anti-Presidente de LS

Le Courrier des Carraïbes

Tropico s'enfonce dans le bourbier économique

Cela fait désormais une dizaine d'années que Tropico connaît une grave crise économique. A peu près gérable avant 1975, elle est désormais néfaste pour la vie de l'île. En effet, plus aucun investissement n'a été fait ces derniers temps, les salaires d'une partie de la population ont été baissés, et les prix de location des appartements ont été augmentés également en partie. Les exportations ne sont en effet plus suffisantes pour faire vivre l'île, qui en dépendait exclusivement. Le Presidente assure vite trouver une issue à cette impasse, mais le peuple doute de plus en plus de sa compétence, comme en prouve la révolte de 1978, où 7 rebelles ont affrontés les soldats de l'armée. Cette "bataille de Tropico" comme aiment dire certains, a fait près de 5 morts du côté rebelle, et 4 du côté des loyalistes. La rébellion a bien évidemment été écrasée, mais cela démontre le mécontentement croissant des citoyens, qui s'est également exprimé par des grèves, et des alertes à la bombe.
Nul doute que l'avenir s'assombris de plus en plus pour la nation tropiquienne. Certains observateurs internationales prédisent déjà la chute du Presidente, en place depuis trente ans.

Jean Aymar,
correspondant à Tropico.

Nautilus a écrit:

Le Courrier des Carraïbes

Tropico s'enfonce dans le bourbier économique

Cela fait désormais une dizaine d'années que Tropico connaît une grave crise économique. A peu près gérable avant 1975, elle est désormais néfaste pour la vie de l'île. En effet, plus aucun investissement n'a été fait ces derniers temps, les salaires d'une partie de la population ont été baissés, et les prix de location des appartements ont été augmentés également en partie. Les exportations ne sont en effet plus suffisantes pour faire vivre l'île, qui en dépendait exclusivement. Le Presidente assure vite trouver une issue à cette impasse, mais le peuple doute de plus en plus de sa compétence, comme en prouve la révolte de 1978, où 7 rebelles ont affrontés les soldats de l'armée. Cette "bataille de Tropico" comme aiment dire certains, a fait près de 5 morts du côté rebelle, et 4 du côté des loyalistes. La rébellion a bien évidemment été écrasée, mais cela démontre le mécontentement croissant des citoyens, qui s'est également exprimé par des grèves, et des alertes à la bombe.
Nul doute que l'avenir s'assombris de plus en plus pour la nation tropiquienne. Certains observateurs internationales prédisent déjà la chute du Presidente, en place depuis trente ans.

Jean Aymar,
correspondant à Tropico.

Pierre80500 a écrit:

Nautilus a écrit:

Le Courrier des Carraïbes

Tropico s'enfonce dans le bourbier économique

Cela fait désormais une dizaine d'années que Tropico connaît une grave crise économique. A peu près gérable avant 1975, elle est désormais néfaste pour la vie de l'île. En effet, plus aucun investissement n'a été fait ces derniers temps, les salaires d'une partie de la population ont été baissés, et les prix de location des appartements ont été augmentés également en partie. Les exportations ne sont en effet plus suffisantes pour faire vivre l'île, qui en dépendait exclusivement. Le Presidente assure vite trouver une issue à cette impasse, mais le peuple doute de plus en plus de sa compétence, comme en prouve la révolte de 1978, où 7 rebelles ont affrontés les soldats de l'armée. Cette "bataille de Tropico" comme aiment dire certains, a fait près de 5 morts du côté rebelle, et 4 du côté des loyalistes. La rébellion a bien évidemment été écrasée, mais cela démontre le mécontentement croissant des citoyens, qui s'est également exprimé par des grèves, et des alertes à la bombe.
Nul doute que l'avenir s'assombris de plus en plus pour la nation tropiquienne. Certains observateurs internationales prédisent déjà la chute du Presidente, en place depuis trente ans.

Jean Aymar,
correspondant à Tropico.

Pff c'est la faute des rebelles! Si le Presidente est au pouvoir depuis 30 ans c'est qu'il gère parfaitement le pays!

Le Courrier des Carraïbes

Fin d'une crise... début d'une autre...

Cela fait huit ans que nous n'avons pas évoqué l'île de Tropico dans notre journal. Pourtant, ces dernières années ont été des plus mouvementées pour le régime de celui qu'on appelle "El Presidente". La crise économique a fait longtemps rage, menant à mal la diplomatie internationale du Presidente. En effet, celui-ci a du plusieurs fois du faire face à des emprunts à l'international, qui ont forcés l'île à l'interdit bancaire plusieurs fois. Mais malgré cela, un semblant de rebond économique semble avoir lieu. En effet, les périodes de déficit semble de moins en moins nombreuses. Les exportations semblent de boeuf et de fer semblent pouvoir faire sortir de la crise l'île.
De ce point de vue, l'avenir de la nation tropiquienne semble plus radieux.

Mais cela n'est qu'une face du miroir de Tropico.

En effet, 4 rebellions de plus ou moins grande importance ont éclatées. L'une d'elle, qui s'est passée en 1983, a opposée pas moins de dix rebelles à dix-sept soldats de l'armée loyaliste.
Les hommes du Presidente auraient été en passe de perdre la bataille ce jour là, si un courageux soldat du nom de Galeno Gomez n'avait pas élimé froidement les derniers opposants. Il a été décoré de la médaille du Lama d'or, soit la distinction la plus haute du pays.

D'autres rebellions ont éclatées par la suite, mais sans que celles-ci soient vraiment dangereuses pour le régime.
Des événement violents d'un autre genre ont été également constatés, comme par exemple des manifestations, des grèves vivement réprimées, ou encore des attentats. Trois tentatives d'assassinat envers le Président sont a dénombrées dans cette liste. C'est la d'ailleurs la dernière d'entre-elles, en 1989, qui fait basculer le pays. En effet, excéder par ces tentatives et rebellions à répétition, le Presidente a décrété la mise en place de la loi martiale dans toute l'île !

Nul doute que l'avenir du pays n'est pas des plus réjouissant. Le pays a certes débuté une reprise économique, mais le pays sombre de plus en plus dans l'autoritarisme. Mais cela n'est pas une surprise, il est évident que ce n'est que la suite logique de la politique du gouvernement face à la réaction populaire.
La réelle question du moment, est; est-ce que le Presidente tiendra-t-il encore dix ans ?

Dictateurs Magazine

El Presidente coule des jours heureux en Suisse !

Quinze ans se sont passés depuis que Nemo Nautilus a quitté l'île de Tropico, qu'il a dirigé pendant un demi-siècle entre 1950 et 2000, et celui-ci semble avoir décidé de profiter de la vie à ses vieux jours ! En effet, à presque 80 ans, celui qu'on connaissait sous le nom d'El Presidente a quitté par la petite porte la présidence du régime de la nation tropiquienne, profitant de l'état d'ébriété avancé de la population et de sa confusion après les disparitions de plusieurs des principaux opposants du régime, lors de la nuit du 31 décembre 1999 au 1 janvier 2000 pour s'enfuir à bord de son hélicoptère présidentiel ! Celui-ci ne serait pas non plus parti les mains vides, car d'après une enquête du fisc local, près de 50'000$ tropiquiens auraient été détournés des fonds publics vers un compte dans une banque suisse de Genève ! Une évasion qui aurait été prévue de longue date d'après les aveux d'un des conseillers du Président resté sur place, qui affirme que le chef d'Etat aurait déclaré au détour d'une réunion au sommet que "Cette île est folle, la preuve il y a une décoration au nom du Lama d'Or ! Il faut que je me barre d'ici au plus vite !" Il est à noté que le seul objet de valeur laissé par le Presidente sur l'île aurait été cette fameuse décoration du "Grand Lama Bolivarien" reçu en 1953.
Nos enquêteurs de "Dictateurs Magazine" ont menés l'enquête pour retrouvé la trace de Nautilus, et sa personne a été retrouvée dans un petit village du Valais Suisse ! Dénicher la somptueuse bâtisse dans ce village n'aura pas été chose difficile, en effet, c'est la seule maison des Alpes où des jardiniers s'efforcent à faire pousser des palmiers par 1000 mètres d'altitude, et où de la musique latino est jouée à fond par les divers appareils musicaux de la propriété !
Nous n'aurons malheureusement pas eu de déclaration de l'ex-chef d'Etat, mais celui-ci aurait été aperçu avec l'individu suivant en photo :

Certaines rumeurs annoncent que El Presidente serait le mentor du Général Aladeen, Chef suprême de la République du Waladiya.

Le bilan de l'île de Tropico laissé par El Presidente est subjectif; certains voient dans son règne l'explosion de l'économie et du développement de la nation, qui avant son arrivée était misérable, d'autres y voient un régime trop peu tourné vers le bien-être social et un régime ayant plus d'une fois usé de la violence et de la corruption de façon décomplexée. A vous de vous faire une opinion à ce sujet, mais nous à "Dictateurs Magazine" nous avons adoré le style de "El Presidente" !

C'était un reportage de votre fidèle serviteur,
Alex Térieur.