Re: OGE News - News from Down Under

Ven 24 Oct 2014 - 11:01

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Lachlan Morton rejoint Orica GreenEDGE

Le jeune grimpeur de l'équipe Garmin - Sharp, qui fêtera ses 22 ans dans quelques jours, est la première recrue de l'équipe Orica pour la saison 2014. Néo-pro cette saison, le natif de Port Macquarie en Nouvelle-Galles du sud a réalisé une première saison pleine de promesse en s'imposant lors de la troisième étape du Tour de l'Utah, prenant le maillot jaune deux jours durant, avant de terminer cinquième du Tour du Colorado, battu seulement au sprint par Matthias Frank sur l'une des étapes. Surtout il est devenu champion d'Australie l'an dernier devant son coéquipier Rohan Dennis.

« C'est un excellent coureur pour le futur, un grand espoir australien. Il est important, pour une équipe comme la nôtre qui tire sa force de ses racines de promouvoir notre cyclisme et d'avoir dans nos rangs le porteur du maillot green and gold. Morton aura sa chance sur quelques courses et apprendra en Europe les bases du métier en se mettant au service de nos leaders. D'ici quelques années il sera très fort et jouera sa chance. » a déclaré Matthew White. Avant de continuer : « Je tiens en estime le travail que fait l'équipe Garmin en Australie. Grâce à eux nous avons de très bons jeunes, comme Dennis, Haas, Van Hoff ou justement Morton qui ont leur chance en World Tour. J'ai beaucoup de respect pour Lucas Napoli, leur directeur sportif. Il apporte beaucoup de bien au cyclisme, et au cyclisme australien. C'est pour cela que nos deux équipes sont appelées à travailler ensemble à l'avenir. »

A noter que dans le cadre de ce transfert c'est le sprinteur lituanien Aidis Kruopis qui a quitté l'équipe pour rejoindre la Garmin ou il tentera de se relancer après une saison 2013 ou il a été plutôt transparent. Il devrait être le poisson-pilote de l'italien Guardini. L'équipe Orica le remercie pour tout ce qu'il a apporté durant ces deux saisons, et notamment son podium au Tour du Qatar en 2012 qui avait lancé notre jeune formation sur des bonnes roues, ainsi que ses victoires au Tour de Pologne, de Norvège et de Poitou Charentes. Bonne continuation, Aidis !

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Sam 15 Nov 2014 - 23:19

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Historique :
2012 : GreenEDGE Cycling | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] World Tour - 6e (920 pts)
2013 : Orica - GreenEDGE | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] World Tour - 6ème (1'130 pts)
2014 : Orica - GreenEDGE | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] World Tour - XX ème

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Haussler remporte le Tour du Qatar

2ème en 2009 et en 2011, la recrue phare du recrutement de l'équipe cette année a montré toutes ses qualités en remportant l'édition 2014 du Tour du Qatar. Avec 6 étapes plates, le sprinteur-flandrien a dû lutter chaque jour et rien n'a été facile. Après avoir pris le maillot jaune sur le contre-la-montre par équipes, 2ème victoire de la saison déjà (!) pour les ogeboys, il l'a perdu sur l'étape suivante. Mais loin de laisser tomber, il a tenu chaque jour et repris le maillot or le dernier jour grâce à une magnifique victoire.

« C'était important de moi d'être au top sur ma première course, qui en plus me convenait bien, pour me lancer dans cette saison et surtout remercier Orica de sa confiance. Ils m'ont fait un signe fort en me donnant tout de suite le leadership et m'ont mis à disposition une grosse équipe. Sans mes équipiers, qui ont été exceptionnels sur les sept jours de course, je n'aurai pas gagné. C'est avant tout leur victoire » a déclaré Heinrich.

La victoire est d'autant plus grande que le TTT, grand objectif de nos coureurs, a été remporté. En emmenant à la fois des coureurs expérimentés (Tuft, Lancaster, Meyer) et de jeunes espoirs (Durbridge, Hepburn, Mullen, ...), l'équipe a prouvé qu'elle était très soudée et sûr d'elle. Un entraînement important quand on sait qu'elle vise les maillots roses et rouges du Giro et de la Vuelta.

Ce qui est sûr c'est que la saison est définitivement lancée, l'équipe affichant déjà 4 victoires au compteur. Malgré la petite déception au Down Under, effacée par la victoire de Cameron, nos regards se tournent maintenant vers Paris-Nice et Tirreno ou Orica espère briller malgré des objectifs très différents.

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Le Bulletin OGE - Pré-Giro

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Giro 2013 : Trofimov à l'attaque avec le belge De Gref

L'an dernier l'équipe Orica avait présentée une équipe plutôt intéressante pour le Tour d'Italie avec un leadership partagé entre le croate Kiserlowski et le russe Trofimov. Accompagnés par quelques bons rouleurs et puncheurs, la team espérait des résultats qu'elle n'aura jamais réussi à avoir. Il faut dire qu'en 2013 les résultats n'étaient pas ceux espérés et après les Ardennaises un grand doute s'était installé. Ce Giro fut un échec pour Orica.

Cette année il n'est pas question que cela recommence. Ainsi, le début de saison de l'équipe australienne est tout simplement magnifique avec déjà 12 victoires acquises par les coureurs, 2 de plus que l'an dernier ! Brillants sur l'Amstel Gold Race où Gerro a été chercher une des plus belles victoires de sa carrière au panache, réalistes sur Paris-Nice où ce même Gerro a managé en maître pour s'offrire la victoire mais aussi polyvalents avec la renaissance des deux sprinteurs Haussler (vainqueur au Qatar et à l'Omloop) et Gossy (vainqueur en Catalogne et en Romandie). Bref, de quoi mettre tout le monde d'accord : la saison est déjà réussie.

Avec un roster ambitieux, les Orica espèrent marquer ce Giro de leur empreinte. Dès le départ en Irlande, en allant chercher le contre-la-montre par équipes puis sur les sprints et en montagne. On regrettera seulement l'absence d'un véritable puncheur.

Kiserlowski, notre croate, a bien progressé depuis l'an dernier et pourrait bien se montrer à son avantage sur les routes montagneuses de ce Tour. A l'aise en montagne, complet en chrono et en vallon, il comptera en plus sur une équipe de taille à ses côtés : Rogers, 11ème du dernier Tour de France ainsi que Cameron Meyer qui prendra le départ de son cinquième grand-tour consécutif. "Je suis là pour épauler mon leader et me faire plaisir [...] Peu de coureurs sont capables d'enchaîner les grands-tours comme je le fais et c'est un véritable défi autant physique que mental. Car courir ces 63 jours de course par année va forcément te fermer la porte d'autre courses, je ne peux plus courir tous les tours d'une semaine que j'aime vraiment. Mais c'est un défi qui me fait plaisir. Encore 2, 3 ans ? Je ne sais pas jusqu'à quand je tiendrai, mais j'irai jusqu'au bout" déclare celui qui avait de plus terminer dans le top 25 des trois GT en 2013. Mis à mal par une enquête de l'UCI en début de saison, il a répondu à la pédale en s'offrant une étape sur le Tour Down Under et il en veux ! Enfin on retrouvera Lachlan Morton qui aura la charge de les épauler assez longtemps en montagne et tentera de montrer le plus possible son maillot de champion d'Australie à l'avant.

Côté sprints et côtes, on retrouve notre jeune perle : Bling pour les intimes aka Michael Matthews. Vainqueur sur Paris-Nice en mars l'australien passe-partout peut jouer ses chances sur beaucoup de terrain : l'Italie devrait lui convenir. Emmené par le polyvalent Brett Lancaster il tentera de se montrer à son avantage après un premier Tour de France décevant.

Ces hommes seront entourés par la pointe des rouleurs de l'équipe : Tuft, Hepburn et Durbridge emmèneront comme au Qatar (vainqueur) et au Trentin (2ème) une équipe complète vers la victoire sur cet exercice si apprécié en Australie. Avec une concurrence qu'on annonce féroce il faudra être fort et soudé comme jamais pour aller cherche la Maglia Rosa mais on y croit fort ! Puis ils géreront sur le plat pour emmener le reste de l'équipe à l'objectif annoncé : des victoires d'étapes et un bon général.

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Morabito de retour sur le Tour de Suisse

Pas d'image a cause de ma co

Après une violente chute sur le Tour de Californie alors qu'il occupait la deuxième place du général qui a provoqué chez lui nombreuses douleurs et lui avait fait perdre tout espoir au général, Steve sera de retour sur le Tour de Suisse qui s'élancera dans quelques jours.

"Je suis remis de mes blessures. Heureusement je n'ai rien cassé, c'était juste des brûlures. J'ai vraiment souffert surtout avec la chaleur californienne mais je voulais finir et je l'ai fait, ensuite je suis retourné un peu dans mon Valais pour me reposer. J'ai parlé un peu avec le staff et je pense que je suis près. C'est toujours super de pouvoir courir ses tours nationaux et on vient avec une équipe ambitieuse, je me réjouis d'en être. Surtout que je suis à nouveau réuni avec notre petit clan, les trois suisses" rigole-t-il à l'évocation du trio magique helvète.

Avec ses trois suisses Alba' Steve et Silvian l'équipe peut en effet espérer voir ses nationaux briller, d'autant que plusieurs étapes leur conviennent. Mais elle pourra aussi compter sur Gossy, vainqueur déjà deux fois cette saison, qui voudra se mesurer au Cav' et des hommes d'expérience comme Sveino, Clarkey et Cam' qui savent autant se mettre au service du team que jouer leur carte et son extrêmement polyvalents. Une belle équipe qui en plus des étapes visera un bon général... avec Morabito justement.

"Je ne sais pas trop encore ou je me situe. Mes jambes sont bien à l'entraînement, maintenant faut voir ce que ça donne en course. Mais je vais donner le meilleur de moi-même pour tenter de ramener un bon général. Ma saison ne s'arrête pas sur cet accident malheureux, je veux remontrer tout de suite que je peux faire des résultats" a déclaré l’intéressé au quotidien local 24 heures.

En plus du Tour en lui-même, objectif annoncé du manager qui dirigera à domicile, les coureurs devront aussi se préparer au Tour de France pour ceux qui le feront et aux championnats nationaux à venir. Ainsi Cameron Meyer se prépare pour son sixième grand-tour consécutif : "Je ne pense pas que je ferai aussi bien que l'an dernier, finir 21ème c'était vraiment incroyable. Mais bon je suis content car les jambes suivent et le public commence à me connaître, à s'intéresser à ce petit défi commencé sur la Vuelta 2012 ! Le Tour de Suisse est vraiment une super préparation car il est long et propose pas mal de terrains différents. Les champ's ? Oui bien sûr que j'y pense. Prendre le maillot gold & green sur route comme je l'avais déjà fait chez Garmin en 2010 serait vraiment magnifique, oui ! Mais la concurrence sera rude et puis dans l'équipe nous avons beaucoup de gars capables de gagner. We'll see !"

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Interview : Cameron MEYER

Cameron Meyer est devenu un personnage reconnu dans le petit monde du cyclisme. Pas tant pour son palmarès, le Cam' étant la plupart du temps équipier de ses leaders, ni tant pour le pseudo-scandale que la presse lui avait attribué à la fin de la dernière saison mais parce qu'il poursuit un challenge audacieux, terriblement humain et surtout dur qui lui vaut le soutien et l'affection du public. Dans quelques jours l'australien s'élancera pour son septième Grand-Tour consécutif, une série commencée sur ce même tour en 2012. Nous l'avons rencontré.

Salut Cameron ça va ? Merci pour l'interview et ta disponibilité !
De rien ça me fait plaisir. Ca va plutôt bien oui, les préparatifs avancent et on sent la pression monter. J'ai hâte d'y être.

Cette Vuelta, c'est ton septième Grand-Tour de suite. Pourquoi ce challenge ?
Et bien pour être franc je ne sais pas trop. J'adore les Grand-Tour et au début de la saison 2013 j'en ai discuté avec mes D.S. Ils ont dit pourquoi pas alors j'ai tenté et j'ai adoré. C'est quelque chose de dur mais qui ramène beaucoup en retour. Je m'éclate !

Pour beaucoup finir 21 jours est plus un calvaire, ou trouves tu la motivation et le bonheur dont tu parles ?
*rire* Tu es au coeur du spectacle, c'est les plus grandes courses du monde. Y a la foule, la presse, tout le monde, c'est génial. Je suis assez polyvalent, bon rouleur et bon grimpeur, donc je suis jamais vraiment à la peine. Tu sais que tu vis vraiment ta vie de cycliste à fond et pour moi c'est juste génial. Bien sûr il y a aussi des sacrifices.

Des sacrifices ?
Oui, courir trois Grand-Tour c'est sacrifier d'autres courses, un calendrier plus dense. Si je n'avais pas cet objectif je pourrais aller sur d'autres courses, par exemple sur le circuit continental, et pourquoi pas avoir parfois l'occasion de jouer ma carte perso. Trois GT c'est une préparation spécifique, difficile, beaucoup de temps passé loin de la famille et des amis. Mais comme je t'ai dis j'aime ce challenge. Et étant australien je suis de toute façon éloigné de chez moi, alors *rire*

Pourtant ce programme t'as quand même permis de tenter d'autres courses non ?
Oui bien-sûr. Mais toujours calqué en priorité sur les GT. Down Under pour la préparation du début de saison, Romandie pour le Giro et Suisse pour le Tour. Des courses ou je devais monter en puissance. Mais je m'y éclate ! Je j'ai pas vraiment de pression là-bas et l'équipe me laisse souvent jouer ma carte. D'ailleurs sur le Down Under cette saison j'ai été chercher une étape. C'était génial de gagner sur cette course que j'affectionne beaucoup. (ndlr : vainqueur en 2011).

Combien de temps penses-tu poursuivre ce challenge ?
Honnêtement... tant que je peux je pense, tant que j'aurai la motiv. L'équipe est ok, je suis ok, je poursuis. Après on ne sait jamais ce qui peut arriver... blessures, ennui, je n'aime pas trop me prononcer sur le futur. Mais je devrais continuer en 2015 sur la même route.

Ton équipe réalise une grosse saison. En tant qu'équipier modèle, qu'est ce que tu en ressens ?
C'est sûr qu'on fait vraiment une belle saison. Bon, au classement WT on est assez loin des grosses caisses mais on cherche ailleurs. On est une bande de potes qui vise avant tout les victoires sur les étapes, en baroudeur ou au sprint. On a 20 victoires pour l'instant je crois (ndlr : 21) et toutes sont le fruit d'un boulot de l'équipe. On a pas juste deux leaders qui gagnent, c'est très diversifié. Et tout le monde à sa chance. Chaque victoire c'est celle de toute l'équipe. C'est ce que j'aime.

Revenons à la Vuelta. Pour toi, quels sont les favoris ?
Pour être franc je n'ai pas trop regardé la start-list *rire* Je sais qu'il y a Rodriguez, c'est un type bien et il mérite de gagner enfin. Dans un autre registre j'espère que Drapac aura une Wild-Card. Ils ont enfin trouvé des fonds pour lancer cette saison et c'est du bon pour le cyclisme australien. En plus Bushe est vraiment un chouette type, il a toujours été très sympa quand il roulait avec Orica.

Un dernier mot ?
Et bien... je remercie tous mes supporters qui m'ont adressés leurs voeux de réussite, j'espère ne pas les décevoir. Une petite pensée pour mon frère qui semble-il vit les problèmes de la célébrité médiatique sur les réseaux sociaux *rire* mais il ne prendra pas ma place ! *rire*

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Coup dur pour Orica : l'UCI sanctionne
Haussler, choqué et outré d'apprendre son déclassement

Coup dur pour la formation australienne. Après avoir remporté coup sur coup Paris-Tour et le Grand Premio Beghelli, les commisaires de l'UCI ont annoncés la disqualification de quatre des coureurs de l'équipe : Travis Meyer, Yury Trofimov, Steve Morabito et Heinrich Haussler. Les deux australiens, le suisse et le russe auraient pris part le même jouer aux deux courses, ce qui est contraire au règlement de l'UCI. Résultat : Orica qui avait placé de nombreux coureurs dans le top ten des deux classiques perd de nombreuses places dont une victoire sur la prestigieuse classiques des feuilles mortes. De quoi ravir d'autres manager, à l'image du franco-chinois Cheng Ji (FDJ) qui n'a pas caché sa joie dans les médias.

Contacté par téléphone, le manager général Shayne Banan qui est actuellement auprès des coureurs à Pékin a indiqué "être totalement abattu par la nouvelle, sous le choc d'apprendre de telle choses après avoir vécu la joie de deux victoires consécutives, mais reconnaître pleinement la faute grave commise par sa formation et ses coureurs". Après l'affaire-polémique concernant Cameron Meyer l'an dernier c'est une nouvelle erreur grave de la Orica qui pourrait risquer jusqu'à un retrait de licences.

La déception était immense aussi chez les coureurs qui ont invoqués une erreur de compréhension et de communication entre eux-même, leur directeur-sportif et les organisateurs. Le germano-australien Haussler a déclaré trouver cette sanction "particulièrement terrible et grotesque" avant de reconnaître "une erreur de l'équipe mais qui ne devrait pénaliser un coureur". Yury Trofimov, le russe, a lui annoncé que ce manque de professionnalisme mettrait un terme à sa collaboration débutée en 2013 avec la Orica qu'il quittera donc au prochain mercato d'hiver quitte à se retrouver sans équipes.

Un autre homme a fait les frais de cette sombre affaire qui ne fait que débuter : le jeune manager sportif de l'équipe le suisse Alexandre Diogo a été limogé avec effet immédiat de la formation qu'il avait prise en main avec succès au début de la saison 2013 en remportant plus d'une vingtaine de victoires sur deux ans. Son équipe invoque des fautes graves qui ont gravement portés atteinte à la confiance entre les dirigeants et les sponsors d'une part et le manager suisse d'autre part. C'est lui qui s'était chargé de prendre en charge les inscriptions pour les courses de fin de saison. Il n'a pas souhaité donner son avis ni réagir aux propos d'autres managers, relatés par la presse.

A suivre

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GreenEDGE secures big deal for young Rohan Dennis

Comme l'an dernier c'est avec l'équipe Garmin, dont le manager Napoli est proche du suisse Diogo (réintégré depuis après longue discussion avec l'équipe), que les premiers transferts de l'équipe ont eu lieu avec... un chamboulement d'effectif au bout. En effet c'est un 3 vs 3 qui a été fait sur le marché des transferts entre l'équipe australienne et l'équipe américaine.

Au final c'est le plus grand espoir du cyclisme australien, le jeune Rohan Dennis, qui rejoint la formation australienne en compagnie du tout aussi jeune sprinteur Von Hoff et du rouleur britannique Rowe. Trois coureurs de moins de 25 ans qui devraient aider l'équipe dans différents secteurs. Surtout, Dennis est attendu comme le futur grand leader de l'équipe : "Il sait tout faire : il roule, il punche, il grimpe, nous avons beaucoup d'espoir sur lui et le futur projet australien sera bâti autour de lui et Bling [Matthews]" indique le D.S. Matthew White. Rowe sera lui co-leader sur les flandriennes avec Haussler et Von Hoff l'un des poisson-pilote de Matthews.

En conséquence, l'équipe note le départ de trois coureurs importants. Tout d'abord le légendaire suisse Michael Albasini quitte une formation qu'il avait connue depuis son lancement en 2012 avec d'excellents souvenirs en tête. Son apport à l'équipe aura été des plus importants et il ne sera jamais assez remercié. Jack Bauer, qui avait permis en grande partie la victoire de Gerro à l'Amstel cette saison, fait aussi parti des départs. Enfin, le russe Trofimov qui avait émis la volonté de quitter l'équipe rejoint également la formation américaine. L'équipe leur souhaite une excellente saison 2015.

L'objectif majeur du manager suisse de Orica resterait de trouver un leader pour les Grand-Tour selon un communiqué de presse et des coureurs comme Kiserlovski pourraient être sur la sellette. Mais rien de plus n'a été ajouté alors que le mercato bat son plein.

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First neo pro is young kiwi Bevin

Alors que le marché des transferts bat son plein, particulièrement dans une équipe américaino-lituanienne au maillot vert que nous ne citerons pas, l'équipe australienne a annoncé son premier néo-pro pour 2015. Il s'agit du jeune sprinteur-puncheur néo-zélandais Patrick Bevin, 23 ans, qui courrait cette année dans l'équipe australienne Search2retain-Health.com.au. Champion d'Océanie sur route juniors en et élu espoir néo-zélandais du cyclisme de l'année en 2009, il était suivi depuis longtemps par l'équipe. Ce qui a achevé le staff technique de l'engager est sa victoire dans le Tour de Tasmanie cette année, épreuve de référence au niveau national qui compte à son palmarès des coureurs comme Evans, Meyer, Porte et plus récemment Haig.

"C'est un jeune très prometteur et très complet mais qui a encore beaucoup à apprendre. Il va rejoindre le noyau de jeunes coureurs anglophones que nous avons formés afin de pouvoir se mesurer au contact des meilleurs. Notre philosophie c'est de faire courir les jeunes palier par palier, sans se hâter, d'abord dans les petites courses. Je crois beaucoup en Pat' et lui-même à beaucoup à apporter à la formation" a indiqué White.

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Welcome, Alex !

L'équipe australienne a annoncé son deuxième néo-pro du mercato, il s'agit du londonien Alex Peters, 20 ans. Le jeune british a fait connaître ses talents de puncheur cette année en terminant bien placé sur plusieurs courses U23 et en remportant le Tour du Reservoir, une course du circuit national anglais, avant de terminer deuxième de l'An Post Race, une course qui compte à son palmarès des coureurs comme Bagdonas, Tony Martin ou encore Craven. Surtout, Peters s'est fait connaître à ses dépens en chutant dans les derniers kilomètres du contre-la-montre du Tour de Grande-Bretagne cette année où Orica était présente (avec la troisième place de Morabito) et à pris contact avec le jeune anglais.

Ce sont plusieurs saisons d'apprentissage qui attendent le jeune anglais qui a hâte de débuter l'apprentissage auprès d'une des meilleures équipes du monde. Il pourra compter sur l'expérience de vieux renards expérimentés afin de progresser, toujours dans ce programme de développement du sport anglophone. Peters est le deuxième anglais à rejoindre l'équipe cette saison, après la signature de Luke Rowe.

Sam 26 Sep 2015 - 12:56

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Orica prête pour la nouvelle saison

Alors que la saison s'est lancée il y a deux jours au Tour Down Under où l'équipe possède déjà un gros effectif et espère commencer très fort l'année 2015, petit bilan du mercato animé où l'équipe australienne a vu l'arrivée de onze nouveaux coureurs dans le cadre du projet anglo-saxon qui anime désormais l'équipe.

Départs
Qui dit arrivée dit aussi départs, avec la perte de plusieurs éléments importants de l'équipe. Ainsi exit "les trois suisses" à savoir le mythique Albasini (Garmin), présent depuis la fondation de l'équipe, le prometteur Dillier (Sky) et le solide Morabito (Bora) tous partis vers l'étranger. On note aussi le départ des océaniens Davis (retraite), T. Meyer (Bora), Von Hoff (Trek), Dempster, Haas (Drapac), Bauer (Garmin) et Bewley (Avanti). Le russe Trofimov a aussi réalisé son rêve et rejoint l'équipe Katusha après deux ans chez les australiens.

Arrivée
Du côté des arrivées les australiens ont réussi quelque beaux coups en attirant tout d'abord deux des leaders australiens du circuit mondial : le jeune rouleur Rohan Dennis (Garmin) très complet et bien-sûr le tasmanien Richie Porte (SKY) meilleur grimpeur aussie du circuit qui devient la carte principale de l'équipe. Dans cette idée les grimpeurs us Chris Horner (Bora) et néo-zélandais Bennett (TreK) rejoignent l'équipe tout comme le jeune McCarthy qui sort d'une année de stage et de formation auprès de nos amis de la Colombia. Les deux jeunes sprinteurs kiwis Bevin et Archbold rejoignent aussi l'équipe pour leur premier contrat pro tout comme le jeune anglais Peters et le canadien Woods. Enfin, le jeune rouleur Howson rejoint l'équipe après un an chez Movistar.

Objectifs
Avec cette effectif amélioré, l'équipe espère être aussi bonne voir meilleure que l'an dernier malgré la montée en puissance de beaucoup d'équipes conti pro et W.T. Gerrans et Matthews se partageront le leadership sur les courses et les classiques vallonées, en espérant accrocher les monuments Liège-Bastogne-Liège et Milan-SanRemo tandis que Richie Porte visera les tours d'une semaine du World-Tour avec une possibilité de courir un Grand-Tour épaulé par le duo Kiserlovski-Horner qui pourra aussi jouer sa chance, peut-être plutôt sur les courses continentales. Rogers sera aussi l'un des leaders sur les tours avec chrono, tout comme Dennis, et très utile à l'équipe pour chaque contre-la-montre par équipes. Enfin dans les sprints Matthews devrait être le leader unique avec une quantité impressionnante de poisson-pilotes à disposition (Howard, Goss, Impey, Haussler) qui joueront aussi leur carte quand il leur sera possible. Une belle saison s'annonce où Orica tentera de lutter sur tous les fronts ! Enfin citons Cameron Meyer puisque notre rouleur/grimpeur tentera de poursuivre son défi initié depuis la Vuelta 2012 en continuant à enchaîner les trois Grands-Tours cette saison pour atteindre le chiffre des 10 grands-tours de suite !

Mar 29 Sep 2015 - 18:35

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#HASHTAG

Mar 29 Sep 2015 - 21:12

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Bilan Saison 2014 / Saison 2015 en chiffre

Saison 2014

Classement points : 7e (1213 points)

Classement victoires équipes : Bronze

3e (23 victoires)

Classement victoires individuelles : 9e AUS

Simon GERRANS (6), 14 AUS

GOSS (4), 17 AUS

HAUSSLER (3), ...

Principales victoires :
- BEL

Amstel Gold Race (Gerrans)
- FRA

Paris-Nice (Gerrans)
- QAT

Tour du Qatar (Haussler)
- 1x etape ITA

Giro (Matthews), 1x étape FRA

Tour (Gerrans), 1x étape ESP

Vuelta (Matthews)
- BEL

Omloop Het Nieuwsblad (Haussler)
- ITA

Grand Premio Bruno Belleghi (Kiserlovski)
- 7 étapes sur des autres tours W.T. ( SUI

)

Record du nombre de grands-tours d'affilé : AUS

Cameron MEYER (7 depuis 2012)

Award du meilleur coureur
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2. Silver

M.GOSS 1. Simon GERRANS 3. Bronze

H.HAUSSLER

Award de l'équipier modèle
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2. Silver

M.ALBASINI 1. Cameron MEYER 3. Bronze

S.CLARKE

Award du meilleur jeune coureur
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2. Silver

S. DILLIER 1. Michael MATTHEWS 3. Bronze

L.DURBRIDGE

SAISON 2015 :

#Equipe Crédible (2ème année)

Note moyenne : 72.6 (9e meilleure équipe mondiale)

Coopération/Formation de jeunes talents :
COL

Colombia

Coureurs : 30

Départs : 11
SUI

Albasini

Morabito

Dillier

Bewley

Bauer

Haas

Brockie

Von Hoff

Trofimov

Davis

T. Meyer

Dempster

Arrivées : 11
AUS

Dennis

Porte

Horner

McCarthy

Peters

Woods

Tamouridis NZL

Bennett

Bevin

Archbold

Howson

Nationalités : 9
19x AUS

australiens
3x NZL

néo-zélandais
2x CAN

canadiens
1x USA

américain
1x CRO

croate
1x

grec
1x

irlandais
1x GBR

britannique
1x AFS

sud-africain

Equipes (2015):
12x AUS

Orica - GreenEDGE (WT)
3x RUS

Tinkoff - Saxo (WT)
2x USA

BMC (WT)
2x AUS

Avanti Racing Team (CT)
1x GBR

SKY (WT)
1x USA

Trek (WT)
1x ALL

Bora-Argon 18 (PCT)
1x SUI

IAM (PCT)
1x AFS

MTN-Qhubeka (PCT)
1x AZE

Synergy Baku Cycling Project (CT)
1x USA

Jelly Belly p/b Kenda (CT)
1x USA

Airgas Safeway Cycling (CT)
1x GBR

SEG Racing (CT)
1x USA

Optum p/b Kelly Benefit Strategies (CT)
1x IRL

An Post - Chain Reaction (CT)
[19x WT | 3x PCT | 6x CT]

Moyenne d'âge : 27.1 ans (13e plus jeune)

Coureur le plus jeune
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GBR

Alex PETERS - 31st March 1994 (20 ans)

Coureur le plus âgé
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USA

Chris HORNER - 23rd October 1971 (42 ans)

Champions nationaux : 8
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] RR Simon GERRANS
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ITT Michael ROGERS
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] RR Robert KISERLOVSKI
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ITT Robert KISERLOVSKI
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] RR Daryl IMPEY
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] RR Svein TUFT
- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] RR George BENNETT

Meilleur coureur
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AUS

Simon GERRANS [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - 78 MOY - Puncheur

Meilleurs grimpeurs
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AUS

Richie PORTE (80), AUS

Michael ROGERS (77), CRO

Robert KISERLOVSKI (76)

Meilleurs puncheurs
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AUS

Simon GERRANS (80), AUS

Richie PORTE (78), AUS

Michael MATTHEWS (77)

Meilleurs rouleurs
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AUS

Rohan DENNIS (78), AUS

Richie PORTE (77), AUS

Cameron MEYER (75)

Meilleurs flandriens
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AUS

Heinrich HAUSSLER (75), AUS

Mitch' DOCKER (73), AUS

Matthew GOSS (67)

Meilleurs sprinteurs
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AUS

Michael MATTHEWS (77), AUS

Heinrich HAUSSLER (75), AFS

Daryl IMPEY (75)

Notes:

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Rencontre du troisième type
Ioannis Tamouridis

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Ioannis Tamouridis, seul coureur grec au niveau professionnel, est le premier coureur du pays hellénique à évoluer au niveau World-Tour. Chez Orica-GreenEDGE le multiple champion national a amené son expérience et s'est mis au travail pour ses leader, il est rapidement devenu une pièce maîtresse pour ses sprinteurs et sur les chronos. Après Paris-Roubaix et le Tour des Flandres, où il est devenu le premier grec à participer à un monument, l'ancien coureur de Net-App et Sp Tableware nous a reçu dans un café.

Ioannis, qu'est-ce que ça fait de courir des courses comme Paris-Roubaix ou les Flandres ?

C'est vraiment un rêve de gosse qui s'est réalisé, une énorme chance pour moi. L’atmosphère, l'ambiance, elle est incomparable. Tu sens vraiment que les fans sont là pour le vélo, qu'ils s'éclatent. Bien-sûr c'est des courses super dures, j'ai jamais autant souffert sur un vélo... mais quel plaisir. Rallier le vélodrome a été le plus beau moment de ma carrière.

Quel bilan tires-tu de ce début de saison et des flandriennes ?

Les flandriennes étaient vraiment mon objectif de début de saison, on avait convenu avec le staff que je devais être en forme pour accompagner Haussler qui est notre leader. Globalement on savait que se battre avec les meilleurs serait dur, et Heinrich a été victime de pas mal d'ennuis mécaniques et humains, donc c'est vrai que le bilan comptable n'est pas excellent même si on fait un top 5 sur le Dwaars Door Vlaanderen. Après en dehors de l'aspect sportif l'ambiance était magnifique, c'était vraiment de magnifiques moments. L'équipe a été très soudée et on a pu s'éclater sur le vélo, c'était top.

Comment s'est passé ton intégration dans ce projet anglophone et australien ? Tu es le seul coureur non anglophone de l'équipe...

C'est vrai que ce recrutement était un peu inattendu, cette offre je ne m'y attendais pas forcément. Mais le projet d'Orica m'a beaucoup intéressé et j'y avais pleinement ma place, pouvoir développer de jeunes coureurs m'intéressait car je pense qu'avec mon expérience je peux amener quelque chose. J'ai profité de l'hiver pour apprendre l'anglais et même si j'ai encore des lacunes je commence à me débrouiller. Avec notre camps d'hiver au Tessin beaucoup de coureurs parlent aussi l'italien que je maitrise donc là ça va. J'ai vraiment été super bien reçu et intégré, il n'y a pas de problèmes à ce niveau, un gars comme Clarke par exemple est tout de suite venu vers moi et m'a présenté au groupe. Ce transfert je ne le regrette pas du tout.

Quelle sera la suite de ta saison ?

Je ne sais pas encore exactement quel sera mon calendrier pour la fin de l'année mais je devrais prendre part au Giro cette année qui sera mon premier G.T et peut-être faire la Vuelta en fin d'année. Le manager aime bien ma polyvalence qui me permet de protéger autant des leaders que des sprinteurs donc je sais que je peux aider à aller chercher pas mal de succès même si moi personnellement ça sera plus dur. Néanmoins j'espère pouvoir me mettre en évidence durant le Giro que je courrai presque à domicile.

Quel est l'état du cyclisme grec ?

Malheureusement la crise a fait beaucoup de mal au cyclisme qui ne possède pas d'excellentes structures. L'an dernier notre formation continentale SP Tableware a cessé d'exister faute de monnaies et beaucoup de jeunes ont dû abandonner le vélo... c'est dommage et j'espère que la médiatisation que je peux apporter grâce à cette place en World-Tour permettra de faire redémarrer les choses. La situation chez moi reste compliquée... mais je suis en contacts avec quelques coureurs comme les frères Bouglas qui sont des espoirs qui peuvent espérer percer. Je sais que Apostolos avait été en contact avec Colombia mais c'était resté sans suite. Mon manager a eu un coup de coeur avec mon pays et s'investit lui aussi pour sauver notre cyclisme. Je reste positif, et j'espère que d'autres formations y croiront aussi pour lui permettre de survivre.

Pour finir, que penses-tu de cette saison et de la saison de ton équipe ?

Au niveau du cyclisme, on voit que le niveau s'est vraiment équilibré et que toutes les équipes aujourd'hui sont compétitives. Tu n'as plus une seule équipe qui domine tout et c'est ce qui rend je pense notre sport de plus en plus attrayant. Bon, clairement, en contrepartie c'est beaucoup plus dur pour les coureurs surtout ceux comme moi qui sont les larbins (il sourit). Mais même en continental pro les équipes arrivent à nous concurrencer. C'est quand même pas rien ! Pour Orica, le recrutement a été excellent et je pense que l'équipe est très compétitive. On l'a vu en ce début de saison où on s'est très bien débrouillé. Mais le niveau reste très élevé. J'espère qu'on va faire quelque chose sur les classiques à venir et surtout qu'on se montrera sur le prochain Giro.

Merci à Ioannis de nous avoir accordé son temps et bonne chance à lui pour la suite de sa saison, on attend avec impatience de le voir se battre sur le Tour d'Italie.

Excellente interview de LA légende Ioannis Cool

J'ai hâte de le voir sur le Giro, et qui sait s'il n'y retrouvera pas un certain Dan Craven Razz