[****] Rabobank Cycling Team 2014 2/3

YEAH la revanche de Mollema
Monfort 3 la Radioshack doit avoir une équipe monstrueuse (t'as les notes de Monfort stp?)

Bien joué de ta part  

Pierre80500 a écrit:Phil!!! Dommage pour Bauke
Puis: Yeaah!! Bien joué Mollema!

Dommage la blessure de Wilco

Je ne sais pas quoi répondre  

LeSuisse a écrit:Alba' 5 eme  

Bien jouer la victoire !  

Les deux Orica à chaque fois dans le top 10  

Nephilim66 a écrit:Bien joué!! 1 partout!!! LBL  vous départagera  

Je ne vais pas me laisser faire  

KimIceman a écrit:YEAH la revanche de Mollema
Monfort 3 :shock:la Radioshack doit avoir une équipe monstrueuse (t'as les notes de Monfort stp?)

 
J'essaye de te retrouver ça ce soir (je suis en pleine réinstallation de PCM et de mes sauvegardes là). Mais je crois qu'il n'est pas monstrueux.

gueguette a écrit:Bien joué de ta part  

Thanks

Pendant que certains bataillent dans les Ardennes, d’autres se mesurent aux routes escarpées du Tour du Trentin. L’épreuve italienne, très montagneuse, est l’occasion pour les futurs protagonistes du Giro de se jauger et de peaufiner leurs états de forme. L’an passé, Ivan Basso avait d’ailleurs dominé ses adversaires avant de terminer à la seconde place de son tour national. L’italien n’est pas présent cette année puisqu’il ne courra pas le premier Grand Tour de la saison. Par contre, Vincenzo Nibali a préféré participer aux Ardennaises pour monter en régime avant son grand objectif de l’année. En son absence, la victoire ne devrait donc pas échapper à Wiggins, Evans, Gesink, Rujano ou Fuglsang. Les deux premiers de la Grande Boucle 2012 partent sans doute avec un avantage sur celui qu’ils avaient devancé en juillet car eux ont déjà repris la compétition. Toujours régulier, Fuglsang pourrait profiter du contre-la-montre par équipes inaugural pour prendre un premier ascendant sur ses adversaires. Quant à Rujano, il a retrouvé ses jambes au Tour de Catalogne, et l’Italie lui a toujours réussie.



Classiquement, ce Tour du Trentin débute par un contre-la-montre par équipes, long de 27 kms. Des premiers écarts vont déjà être créés entre les prétendants à la victoire finale. Katusha et Ag2r vont longtemps faire illusion, devançant même largement les BMC de Wiggins, Evans et Pinotti ! Alors qu’ils possédaient respectivement 17 et 11 secondes d’avance aux intermédiaires, les RadioShack s’écroulent dans la portion finale. Ils conservent tout de même la tête pour quelques centièmes. Mais la performance des Rabobank est encore plus surprenante. Alors qu’ils avaient 34 secondes de débours à 10 bornes de l’arrivée et que la plupart des coureurs effectuent leur reprise, les néerlandais finissent en trombe. Ils emmagasinent de la confiance pour le chrono du Giro en remportant l’étape pour 10 secondes ! Steven Kruijswijk est le premier leader. Au niveau des favoris, Gesink reprend 10 secondes à Fuglsang, 30 à Rujano et 55 au duo Evans - Wiggins, les grands perdants du jour.

Spoiler:

La traditionnelle échappée matinale part assez facilement à l'assaut de cette première étape de montagne, dont les difficultés sont situées assez loin de l'arrivée. Les trois transalpins Bertagnolli, Bailetti et Ratto sont accompagnés du français C.Pineau, et prennent sans forcer plusieurs minutes d'avance. Les équipiers du leader vont même tarder à pointer le nez en tête du peloton. Ils ne s’y mettent que lorsque Wiggins et 6 autres coureurs dont Pozzovivo obtiennent une minute de marge, après être partis au sommet de l’avant-dernier col à 75 kms de l’arrivée. Mais cette équipe n'a pas été bâtie pour la montagne et Kruijswijk et Gesink doivent prendre leurs responsabilités dans le dernier col long de 22 kms. Au passage au sommet, Pozzovivo et Hoogerland ont désormais une vingtaine de secondes de marge sur un Wiggins peut-être hors de forme pour se faire distancer de la sorte, et une quarantaine sur un peloton de 35 unités. Mais le quatuor de tête possède toujours 2 minutes d’avance sur les contre-attaquants.

Dans la longue descente, Kruijswijk est incapable de prendre le moindre relais et Gesink n’est pas aidé. Le champion des Pays-Bas n’est pas un bon descendeur et ne peut réduire les écarts. Cela profite aux échappés qui vont se disputer la victoire. Après être sorti à 5 kms du but, Bailetti résiste in extremis au retour de Bertagnolli, Ratto et Pineau pour remporter le plus beau succès de sa carrière de gregario. Wiggins, Hoogerland, Pozzovivo et Nordhaug, qui avait fait la jonction seul, reprennent 32 secondes à Gesink. Rujano perd encore plus gros en lâchant prise et 43 secondes supplémentaires dans le final. Bertagnolli s'empare du maillot rose.


L’étape du jour se termine par une montée terrible jusqu’à Moline qui doit créer décanter le général. Un groupe de 7 coureurs prend le large dans la première difficulté du jour, mais Seeldrayers est de loin le fort du lot. Le belge part en solitaire à 90 kms du but alors que les Lampre, les FDJ et les Liquigas mènent avec sérieux la chasse du peloton. Pourtant il ne fera qu’accentuer son avance tout au long du parcours. Malgré une baisse de régime légitime dans les derniers kms du col final, il conserve assez d’avance pour faire coup double : étape et maillot de leader !

Derrière cette démonstration, la course a également bien lieu dans le peloton. Pozzovivo place la première attaque à 16 kms de l’arrivée au sommet, suivi par un  Kruijswijk qui doit vite lâcher prise devant le rythme du petit italien. Wiggins accélère à son tour à 9500 mètres de la ligne. Il rejoint presque facilement Pozzovivo avant de le distancer quelques lacets plus haut. Nordhaug, Fuglsang, Gesink et le maillot rose Bertagnolli se détachent aussi du groupe de chasse au train. Evans et Rujano sont quant à eux en difficulté et déjà très loin du quatuor. Puis Fuglsang sort à son tour et rejoint Pozzovivo sous l’arche des 5 kms. Sans se lever de sa selle, Gesink distance Bertagnolli et Nordhaug pour revenir sur le duo italo-danois dans le dernier km à 20 %. À leur suite, les coureurs en terminent complètement cuits par groupes de trois au maximum, à commencer par Bonnafond qui a très bien fini sa montée.

Spoiler:

Dès le départ, sept hommes prennent la poudre d’escampette, dont J.Pineau et Kruijswijk. Malgré que ce dernier soit le mieux placé au général mais à près de 10 minutes, cette échappée ne prendra jamais plus de 5’20’’ d’avance. Une dizaine d’hommes dont Rujano et Rebellin partent en contre à 60 kms de la ligne, alors que les coureurs n’ont pas encore quitté la plaine. Ce groupe de 17 n’inquiète pas les Astana du leader qui font juste l'effort pour limiter l'écart dans des eaux raisonnables. Rujano secoue le groupe en vue du premier sommet et bascule avec quelques secondes de marge sur Kruijswijk et Di Luca. Mais le duo est vite repris puis déposé par un Agnoli qui revient petit à petit sur l’homme de tête dans cette dernière montée. À 2,5 kms du but, le vénézuélien est repris et ne peut s’accrocher à Agnoli qui s’envole vers le premier succès de sa saison. Un membre de l’échappé est donc allé au bout des 3 étapes disputées !

Les favoris doivent dès lors se rabattre sur le général, à commencer par Fuglsang qui tente de sortir dès le pied de la montée finale. Il est repris 2 kms plus loin, mais les attaques continuent avec Wiggins, Brambilla et le danois à 7000 mètres du sommet. Le leader de la BMC est le seul à pouvoir faire le trou alors que Seeldrayers n’est pas au mieux. À force d’insister, Fuglsang et Pozzovivo distancent également le maillot rose. Gesink, Bonnafond, Nordhaug et Sella sont ceux qui limitent le mieux la casse. Les écarts continuent de se creuser à la pédale jusqu’au sommet, où Gesink est le grand perdant du jour puisqu’il passe de la troisième à cinquième place du général. Quant à Wiggins, il échoue à un souffle de Agnoli. L’anglais reprend ainsi 3’25’’ à Seeldrayers, plus les bonifications, mais échoue finalement à 19 secondes du belge. Seeldrayers remporte donc ce Tour du Trentin 2013 !

Spoiler:

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Nico32 a écrit:

KimIceman a écrit:YEAH la revanche de Mollema
Monfort 3 :shock:la Radioshack doit avoir une équipe monstrueuse (t'as les notes de Monfort stp?)

 
J'essaye de te retrouver ça ce soir (je suis en pleine réinstallation de PCM et de mes sauvegardes là). Mais je crois qu'il n'est pas monstrueux.

Voilà pour toi Kim :

Comme Gerdemann (76 VAL), il a profité de son bon placement pour tirer son épingle du jeu. Normalement il roulait pour les Schleck, mais du coup ces-derniers étaient beaucoup moins bien placé en bas du mur...

Pour finir cette semaine ardennaise, les coureurs se présentent à Liège pour la doyenne des classiques, à savoir Liège-Bastogne-Liège. Les plus grands ont inscrit leur nom à son palmarès mais, depuis deux ans, Philippe Gilbert fait la loi sur ses terres. L’an passé, un groupe de 11 s’était détaché dans la côte de la Roche aux Faucons sous l’impulsion d’Andy Schleck. Les frères luxembourgeois s’étaient relayés pour mettre à mal le belge et, dans la côte de Saint-Nicolas, Gilbert, Vanendert et Vinokourov avaient suivi une offensive de Fränk. Le groupe s’était ensuite observé au point de voir le kazakh repris par ses anciens compagnons lors du sprint final. Mais Gilbert et Schleck étaient au-dessus du lot. Le luxembourgeois avait livré un sprint remarquable mais s’était finalement incliné devant le leader de la BMC.

Les premiers kms de cette doyenne sont avalés à vive allure. Les attaquants sont très nombreux mais se roulent dessus et il faut attendre 60 bornes pour que Koren, Charteau, Durán, Aru, Monier, Oostlander et Pidgornyy prennent enfin le large. Pas moins de six équipes se relaient à leur suite, ce qui amenuise encore un peu plus leurs chances déjà ridicules d’aller au bout.

Les premiers monts font les premières victimes, parmi lesquels Andy Schleck et Basso qui reviendront après 40 kms de chasse. Mais sur ces routes étroites, on ne peut pas se replacer facilement. Le peloton ne cesse d’exploser et de se reformer, et ceux à l’arrière font beaucoup plus d’efforts que ceux à l’avant. C’est notamment le cas d’Albasini, D.Martin, A.Schleck, et Basso. Monfort, Wegmann et Hermans sont également sacrifiés pour permettre à leurs leaders de rentrer et laissent de nombreuses forces dans la bataille.

Avec sa pléiade de stars, la Sky mène le peloton une bonne partie de l’étape, avant d’être suppléés par la Movistar de Valverde et la BMC de Gilbert. Wegmann est le premier à attaquer sans réussite à 35 bornes d’Ans tandis que Hesjedal et Evans sont étonnement distancés. Puis Valverde et Sánchez y vont à leur tour, ce qui leur permet d’aborder l’inédite côte de Colonster avec 45 secondes d’avance sur un paquet mené par Cancellara, Boasson Hagen, Txurruka et Rolland.

L’ascension se fait à vive allure et Sánchez doit lâcher prise devant le rythme de son compatriote. Le leader de la Liquigas est avalé par 4 obus : Gilbert a accéléré sans se lever de sa selle, et seuls F.Schleck, Van Avermaet et Anton ont pu accrocher son sillage. Mais le dernier nommé explose en plein vol tandis que le duo gagnant de l’an passé se lance à la poursuite d’un Valverde très costaud. Gerrans et Albasini, accompagnés de Martens et T.Martin, mènent la poursuite d’un groupe d’une grosse vingtaine d’unités qui perd des éléments à chaque kilomètre.

Un trio se reforme finalement en tête dans l’avant-dernière côte, au moment où Mollema se dresse sur ses pédales dans le groupe des presque-battus. Seul Anton s’accroche quelques mètres à sa roue. Mais le basque doit laisser le néerlandais revenir sur Van Avermaet, puis le déposer. Cependant, il sera difficile de jouer la gagne car il possède 37 secondes de retard sur Valverde et 52 sur Schleck et Gilbert. Il faut que les hommes de tête s’observent pour laisser une chance au leader de la Rabobank, mais c’est ce qui s’était produit l’an passé.

Cependant, le tenant du titre sait qu’il est supérieur à Schleck au sprint et ne veut pas laisser passer cette chance. Il effectue tout le travail, ne jetant même pas un regard à son adversaire. Le sprint est lancé juste avant le dernier virage et, comme prévu, Schleck ne fait même pas illusion une seconde. Gilbert s’envole donc vers sa 7ème classique Ardennaise en 3 ans ! Au bout de la souffrance, El Imbatido conserve quelques mètres d’avance sur Mollema, qui peut se mordre les doigts d’avoir laissé partir le bon coup.

Spoiler:

Spoiler:

Dommage Mollema en forme quand même il va faire mal dans les tours  

Argh Si Mollema avait suivi :/ Gilbert!!!  

Allez on y croit pour Mollema sur le reste de la saison
La Rabobank est toujours la

LeSuisse a écrit:Dommage Mollema en forme quand même il va faire mal dans les tours  

Ouais, c'est même bizarre que ceux qui ont suivi Gilbert aient pu me décrocher à la pédale, mais bon je gagne une place par rapport à l'an passé  

Pierre80500 a écrit:Argh Si Mollema avait suivi :/ Gilbert!!!  

Argh si Mollema avait pu suivre :/

KimIceman a écrit:Allez on y croit pour Mollema sur le reste de la saison
La Rabobank est toujours la

Moi aussi  
La Rabo n'est pas prête de partir

Sinon en passant bravo pour le titre mérite de récit du mois sur PCM France  

Bizarre en effet pour Mollema!
il était à combien en forme et forme du jour ?
Sinon peut-être un pbm d'endurance ? Il a combien Mollema ?

LeSuisse a écrit:Sinon en passant bravo pour le titre mérite de récit du mois sur PCM France  

Thanks

Nephilim66 a écrit:Bizarre en effet pour Mollema!
il était à combien en forme et forme du jour ?
Sinon peut-être un pbm d'endurance ? Il a combien Mollema ?

Il avait 96pts, et 0 en forme du jour.
C'est vrai qu'il n'est pas très endurant ("seulement" 71 END, et 72 RES) et qu'il a 3 pts de moins que Gilbert en VAL  

On a l’habitude de dire que le Tour de Romandie est synonyme de retour de la haute montagne pour les coureurs. C’est un peu moins vrai cette année, puisque Paris-Nice, Tirreno et le Tour de Catalogne ont chacun offert des étapes en altitude disputées. L’an passé, le parcours avait même été très décevant puisque presque aucune attaque n’avait secoué le peloton. Cela n’avait pas empêché Joaquin Rodriguez de remporter trois étapes sur six, dont deux au sprint, et de s’adjuger le général après un contre-la-montre final achevé à la sixième position.

Classement 2012 : (avec des , les coureurs présents cette année)
1. J.Rodriguez (KAT)
2. B.Wiggins (SKY)
3. C.Evans (BMC)
4. C.Horner (RNT)
5. B.Samoilau (MOV)
6. M.Nieve (EUS)
7. V.Agnoli (LIQ)
8. G.Larsson (VCD)
9. A.Amador (MOV)
10. T.Martin (OPQ)


Pour commencer ce Tour de Romandie, les organisateurs ont prévu un chrono en côte de 5700 mètres qui va privilégier les grimpeurs. Troisième à s’élancer, Weening réalise la première marque remarquable. Mais son temps ne tiendra évidemment pas devant la performance de Rigoberto Uran. Le colombien prend la tête pour 27 secondes. Vandewalle puis Slagter s’intercalent sur le podium, mais toujours à distance très respectable du second leader de la Sky.

Samoilau et Valls s’approchent ensuite à moins de 15 secondes du leader provisoire, dont la référence subit un premier test avec le passage de van Garderen. Celui-ci est passé avec succès puisque le champion des États-Unis échoue à 8 secondes du colombien. Poels, qui remplace Kelderman au pied levé, ne fait pas mieux avec le sixième temps provisoire, loin de ses performances de mars. Uran voit également son compatriote Quintana échouer à seulement 3 secondes de sa marque. Les colombiens sont visiblement en forme !

Dans la foulée, Talansky signe une nouvelle contre-performance sous ses nouvelles couleurs basques. En revanche, Mollema continue sur sa lancée des Ardennaises et explose le temps de Uran. L’écart entre le leader et son dauphin est désormais de 32 secondes ! Il va falloir aller le chercher !

Les passages s’écoulent et personne ne peut menacer le néerlandais, qui ridiculise presque ses adversaires. Le vainqueur du Tour du Pays Basque, Pierre Rolland, est ainsi relégué à 43 secondes ! Ceux qui limitent le mieux la casse sont Nieve et Leipheimer, qui passent de justesse sous les 30 secondes de débours. Lorsque les autres leaders s’élancent, le brouillard a enveloppé le parcours et Mollema a depuis longtemps effectué sa récupération.

Puis la pluie chasse en un rien de temps le brouillard, ce qui n’est pas pour plaire aux coureurs. Qui sait ce que Costa et Roche auraient pu réaliser sans ce contretemps ? Les deux hommes prennent place dans le top 10 mais toujours à plus de 30 secondes de Mollema. Puis le vainqueur de l’an passé en termine. Mais Purito n’y est pas en ce début de saison et le confirme encore aujourd’hui. Tout comme Dan Martin qui n’a rien montré depuis sa victoire lors du Tirreno.

Monfort, puis Velits, font légèrement mieux en échouant aux portes du top 5. Evans, lui, ne signe pas mieux que la 17ème marque provisoire. Au contraire de ses adversaires, Menchov aura eu un point de mire dans le final avec le pauvre Degenkolb. Le russe en a bien profité puisqu’il est le premier à perdre moins de 20 secondes sur Mollema, 18 exactement.

Il n’en reste désormais plus que 5 en lice. Nibali est le premier à en terminer. Le squale ne fait pas mieux que Menchov en échouant au pied du podium. Le kenyan blanc fait légèrement mieux en prenant 4 secondes à Nibali et la troisième position provisoire. Mais ce podium ne fait pas long feu avec l’arrivée de Van den Broeck. Le leader de la Lotto surprend en ne déboursant que 16 secondes sur le leader, qui attend désormais l’arrivée de son équipier Gesink. Le récent 5ème du Tour du Trentin a visiblement amélioré sa condition depuis, car il signe le même temps que Mollema. Les deux amis sont départagés aux centièmes, et c’est finalement le plus expérimenté des deux qui relègue l’autre à la seconde place. Contador, qui ferme le portillon, aura bien du mal à s’imposer. Le champion du monde de la discipline n’a pas gagné un chrono depuis son titre, et ce n’est pas aujourd’hui que cela changera. L’espagnol signe tout de même le cinquième temps et se positionne en embuscade au général.

Spoiler:

Quelle perf!!!